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La Confession d’Alice

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La Confession d’Alice
Publication
Auteur Jack London
Titre d'origine
When Alice Told Her Soul
Langue Anglais américain
Parution New York (États-Unis)
The Macmillan Co
1919
Recueil
Traduction française
Traduction Louis Postif
Intrigue
Lieux fictifs Honolulu
Nouvelle précédente/suivante

La Confession d’Alice (titre original : When Alice Told Her Soul) est une nouvelle de l'écrivain américain Jack London, publiée, après sa mort, aux États-Unis en 1918.

Historique[modifier | modifier le code]

La nouvelle, l'avant-dernière de Jack London, est publiée initialement dans le Cosmopolitan (magazine) en , avant d'être reprise dans le recueil On the Makaloa Mat en .

Résumé[modifier | modifier le code]

À Honolulu, Abel Ah Yo, un prédicateur pentecôtiste, organise des assemblées « où l'on se libérait du péché et des maladies de l'âme, où les pécheurs étaient soulagés de leur fardeau et retrouvaient la légèreté, la joie et la santé spirituelle[1]. »
Mais Alice Akana, ancienne maîtresse de la maison de la hula, n'est pas libérée. Pour Abel Ah Yo, la seule solution est de confesser devant Dieu et l'assemblée « les mauvaises actions commises avec les amis du bon vieux temps ». Les notables et les sommités du lieu se font du souci...

Éditions[modifier | modifier le code]

Éditions en anglais[modifier | modifier le code]

Traductions en français[modifier | modifier le code]

  • La Confession d’Alice, traduction probable de Louis Postif, en 1939-1940.
  • La Confession d’Alice, traduction de Louis Postif, in Histoires des îles, recueil, U.G.E., 1975.
  • Quand Alice se confessa, traduit par Aurélie Guillain, Gallimard, 2016[2].

Source[modifier | modifier le code]


Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Jack London
  2. Jack London, Romans, récits et nouvelles, tome II, édition publiée sous la direction de Philippe Jaworski, Paris, Gallimard, coll. « Bibliothèque de la Pléiade », 2016 (ISBN 978207014648-2)